Retour au point zéro. A moins qu’aucun cycle ne soit similaire au précédent et n’annonce à son tour son dissemblable successif. Le vertigineux de l’affaire sied dans les gesticulations fiévreuses au devant de l’inertie et leur cinétique des corps célestes.
Nous,mammifères maniaco-égotiques célébrons ou pas, mais contenons quelques rites dévots ou séculiers. Ces secousses du temps dont le temps ignore les secousses.
Caprices d’un calendrier parmi d’autres, il est plaisant d’observer le consensus surgir et où peut-il mener. Il sont nombreux les consensus. Quelques codes communs dont on aurait pas idée de les en déloger. Les sciences dites dures en sont une praxis.
Quelques repères clé, hors de notre contrôle mais dont l’on est imprégné des moments suspendus, des dates marqueurs que nos représentations épinglent à notre cognition. Alors que nous les ignorions ou pas, ceux-ci nous habitent et quand bien même récessifs, surgissent à nos réels.
Ainsi le premier de l’an neuf, le dix-sept de deux milles; La Bibliothèque du peuple opère sa permanence de prêt et consultation sur place. Et propose une écoute collective autour du calendrier révolutionnaire[wikipedia]. Le temps doit-il être débarrassé de la colonisation des dominants. La vitesse, est-ce une stratégie de tension?
Nous débuterons un questionnement évolutif. 14h-18h le premier janvier de 17. A tantôt. Message? bibliodupeuple@fepete.ch
Le calendrier révolutionnaire par Fabre d’Églantine et Philippe-François Nazaine de 1794. Source: gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France. Calendrier Révolutionnaire