Quelques mots ont prise sur nos conditions. Ils forment du sens, mis en phrases, rédigés, chantés ou juste lu. Ils entreprennent de décalcifier et complexifier nos grilles de lectures, nos analyses, les détachement radicaux consécutifs et la destruction de l’incapacité de faire.
Parce que l’on connoît leurs acuités à nous en priver du sens des mots, à y introduire leurs méfaits et leurs réductions; qu’au bout du chemin c’est le cul de sac et de basse fosse. Conduire une pensée c’est bien l’inverse de l’accroître. C’est la brider alors que l’on chevauche les maux, impétueuSESx, aux embruns des tempêtes qui viennent.
Nous n’empêcherons personne de nuire si nous n’armons pas nos sens critique et nos outils sémantiques. Alors ce nano-projet: La Bibliothèque du Peuple; prêt anonyme, gratuit et non recensé, contient plus qu’il n’en laisse présager. Mais l’on en alléguera rien d’autre ici. Viens donc nous rencontrer. Viens co-adjuver et renverser le paradigme qui à cours.
Rencontres, livres, matériels, hardiesses. Tu vois pointer le soleil au travers du tulle marchand? A dimanche!
